Tout savoir sur les champignons dans les bâtiments

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Un mur légèrement humide, une odeur de bois mouillé, un petit gonflement du plancher… et si c’était bien plus qu’un simple excès d’humidité ?
La mérule, ce champignon lignivore surnommé la « lèpre des maisons », s’attaque aux structures des bâtiments en silence. Elle se nourrit de cellulose, se développe dans l’obscurité, et colonise bois et maçonnerie dès que l’air devient trop humide. En France, des milliers de logements sont aujourd’hui infestés.
Et le pire, c’est que vous ne la verrez peut-être pas venir. Un filament blanc, une poussière rouge, ou un simple effet de pourriture cubique sur une boiserie peuvent être les premiers signes d’un danger structurel grave.
Sans traitement professionnel, les dégâts peuvent coûter des dizaines de milliers d’euros.
Ici, on parle détection, prévention, diagnostic mérule, ventilation, zones à risque, obligations légales, assainissement et solutions durables.
Car protéger un bâtiment, c’est aussi protéger ses habitants.
Qu’est-ce que la mérule, ce champignon qui ronge le bâtiment ?
Si l’on devait lui attribuer un surnom, ce serait sans doute “le cancer silencieux de l’habitat”. Car la mérule pleureuse – Serpula lacrymans – n’est pas un simple parasite. C’est un organisme lignivore, un champignon fongique pathogène capable de fragiliser toute une structure en bois, parfois en quelques mois.
Ce qu’elle mange ? La cellulose. Et elle s’en nourrit sans relâche, en décomposant petit à petit la lignine, cette molécule qui donne au bois sa résistance mécanique. Le bois devient friable, se fissure, se découpe en blocs : c’est la pourriture cubique, l’un des signes les plus visibles de sa présence. Mais ce n’est que la partie émergée de l’iceberg.
La mérule se manifeste souvent dans les locaux mal ventilés, les zones à fort taux d’humidité, ou les lieux fermés où des matériaux à base de bois sont en contact prolongé avec de l’eau.
Ce champignon développant son réseau en silence, se cache dans les structures en bois, entre cloison et isolant, derrière un lambris, ou dans une cave mal aérée. Même les bâtiments conformes au code de la construction peuvent être touchés s’ils présentent des facteurs propices : isolation thermique défaillante, excès d’humidité, absence de mesures préventives.
Et ne croyez pas qu’elle s’attaque uniquement au bois : elle peut aussi coloniser plâtre, pierres, briques, en transportant l’humidité nécessaire via ses rhizomorphes. Sa forme cotonneuse, de couleur blanche, parfois rouge ou brune, peut passer inaperçue jusqu’à ce qu’elle cause des dégâts importants.
La mérule dans le bâtiment, c’est un problème grave lié à une attaque fongique profonde. Elle peut compromettre la solidité de la charpente, nécessiter une intervention lourde, et causer des dégradations structurelles si on ne la traite pas rapidement.
Conseil : surveillez toute tache d’humidité, changement de couleur du bois, ou odeur anormale dans des zones confinées. Ce sont parfois les seuls signes avant-coureurs d’un danger structurel.
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Conditions de développement dans les bâtiments
La mérule ne s’installe jamais par hasard. Si elle apparaît, c’est que les conditions sont réunies pour qu’elle se sente bien. Et là, autant vous dire qu’elle sait choisir son moment.
Voici ce qu’elle adore :
Facteur | Détail |
Humidité élevée | Dès que le taux d’humidité du bois dépasse 20%, la mérule peut commencer à se développer. Une remontée capillaire, un dégât des eaux, une fuite de plomberie… et le terrain est prêt. |
Obscurité | Elle déteste la lumière. Elle se niche dans les coins sombres : caves, combles, derrière les cloisons, sous les planchers… |
Absence de ventilation | Un air confiné, stagnant, c’est l’allié parfait pour un champignon pathogène. Les locaux non aérés sont les plus exposés. |
Température tempérée | Elle se développe particulièrement bien entre 20 et 30°C – pile la température d’un logement standard. |
Présence de bois | Et pas n’importe lequel. Le bois utilisé dans la construction (planchers, poutres, charpente…) contient de la cellulose, sa nourriture favorite. |
Remarque : le bois ne doit pas forcément être visible pour être contaminé. Une poutre derrière une cloison, un plancher intermédiaire, un encadrement de fenêtre ancien… la mérule peut tout coloniser à l’abri des regards.
Et ce n’est pas tout : même si les conditions ne sont plus réunies, elle peut entrer en dormance. Attendre. Parfois des années. Puis se réveiller dès que l’environnement redevient propice.
Comment les champignons se propagent dans les bâtiments ?
Un jour, tout va bien. Et le lendemain, un mur gondole, une odeur âcre monte du parquet, et on découvre des filaments étranges derrière une cloison. Ce qui était localisé devient rapidement généralisé. Alors, comment un champignon peut-il aller aussi vite ?
Deux armes redoutables : les spores et les rhizomorphes
- Les spores :
Elles sont minuscules, invisibles à l’œil nu, mais capables de voyager loin. Portées par l’air, elles se déposent sur n’importe quelle surface contenant de la cellulose : un bois, un carton, un papier peint. Il suffit qu’il y ait un peu d’humidité… et c’est parti.
“Un courant d’air, une fenêtre ouverte, un mouvement dans une cave… et les spores de la mérule s’envolent vers de nouvelles zones à coloniser.”
- Les rhizomorphes :
Ce sont comme des racines fongiques, capables de transporter l’eau. Concrètement, même si une pièce semble saine, la mérule peut aller y chercher sa dose d’humidité depuis une autre zone humide du bâtiment. Oui, elle crée littéralement un réseau autonome de survie.
Ce que ça signifie ?
- Un simple dégât des eaux non traité peut devenir le point de départ d’une infestation généralisée.
- Un mur sec en surface peut cacher une contamination en profondeur.
- Et même si vous pensez avoir réglé le problème, la mérule peut hiberner… et revenir.
Bon à savoir : dans certains cas extrêmes, les spores de mérule ont été retrouvées dans des logements voisins, dans des combles communs, voire dans des cages d’escaliers partagées. D’où l’importance de penser collectif dans les immeubles.
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Dangers pour les bâtiments
Si la mérule n’était qu’une tache disgracieuse sur un mur, on pourrait presque s’en accommoder. Mais ce n’est jamais le cas. Derrière son apparence cotonneuse, la mérule ronge littéralement le bâtiment.
Voici ce qu’elle peut causer concrètement :
Type de dégât | Description |
🪵 Dégradation du bois | Elle décompose la lignine et la cellulose, ce qui affaiblit la structure du bois. Résultat : le matériau devient cassant, creux, se fissure… parfois en cubes, d’où le nom de pourriture cubique. |
🏚️ Perte de résistance structurelle | Une poutre attaquée par la mérule peut perdre sa capacité de charge, menaçant la stabilité entière de la structure : planchers affaissés, murs porteurs fragilisés, escaliers instables. |
🧱 Propagation aux matériaux inertes | Contrairement aux idées reçues, la mérule ne s’arrête pas au bois. Plâtre, brique, pierre, tout peut être colonisé par le mycélium. Elle ne s’en nourrit pas, mais elle s’y accroche pour progresser. |
💸 Coûts de réparation | Plus elle avance, plus le traitement devient lourd : dépose des matériaux, traitement chimique ou thermique, remplacement des bois atteints… sans parler du coût en cas de vente : la valeur du bien chute, surtout si un arrêté préfectoral mentionne un risque avéré de mérule. |
Les zones les plus à risque ?
- Charpentes anciennes
- Bois de construction mal protégés ou mal ventilés
- Cloisons en bois humides ou mal entretenues
- Sous-sols, caves, greniers mal isolés
- Points de contact bois/mur : linteaux, solivages, plinthes…
Et le plus traître dans l’histoire ?
👉 Une mérule ne se voit pas toujours au début.
Elle peut vivre des mois cachée, à ronger tranquillement votre structure, avant que les premiers signes visibles n’apparaissent. À ce stade, les dégâts sont souvent importants.
Risques pour la santé
Vous vous demandez peut-être : “Un champignon dans le mur, ça peut vraiment me rendre malade ?”
La réponse est simple : oui.
Même si la mérule ne vous saute pas au visage, sa présence peut avoir de vraies conséquences sur la santé, surtout si vous y êtes exposé longtemps sans le savoir.
Les problèmes respiratoires : les premiers signaux d’alerte
Les spores de mérule, une fois dans l’air, deviennent aériennes et invisibles. Vous les respirez sans vous en rendre compte. Et voilà ce qui peut arriver :
- Gêne respiratoire, toux persistante, respiration sifflante
- Aggravation de l’asthme ou apparition de symptômes allergiques
- Irritations nasales ou oculaires, maux de tête récurrents
- Fatigue inexpliquée ou état d’encombrement permanent
Enfants et personnes fragiles en première ligne
Les bébés, les personnes âgées, les malades chroniques ou immunodéprimés sont particulièrement sensibles à la présence de moisissures et spores fongiques.
Et ce n’est pas tout. L’humidité nécessaire au développement de la mérule n’est pas anodine : un logement humide est un terrain propice à d’autres moisissures, comme le coniophore des caves, et peut favoriser l’apparition d’acariens et de bactéries pathogènes.
Astuce : comment repérer les effets ?
Vous avez un mur qui sent la terre humide, vous êtes plus souvent malade à la maison qu’ailleurs, et vos murs commencent à se gondoler ? Il y a de grandes chances qu’un champignon soit en train de se développer dans votre bâtiment.
Comment détecter la mérule ?
La difficulté avec la mérule, c’est qu’elle s’attaque à votre logement en douce. Pas de bruit, pas de choc, juste des signes que beaucoup ignorent ou confondent avec de l’humidité banale.
Et pourtant… certains indices ne trompent pas.
Les signes visibles à surveiller :
Symptôme | Ce que ça peut indiquer |
Déformations du bois | Plinthes qui gondolent, escaliers qui grincent anormalement, parquets bombés. |
Aspect cotonneux | Présence de mycélium blanc ou ouateux sur les murs, plafonds, derrière les meubles. |
Taches orangées | Efflorescences typiques de la mérule pleureuse. |
Larmes colorées | Goûtes légèrement orangées ou brunes : la mérule pleure… littéralement. |
Odeur terreuse, de cave | Persistante, désagréable, elle vous prend au nez quand vous entrez dans une pièce contaminée. |
Poussière rouge | Apparaît parfois au sol ou sur les étagères : spores libérées par le champignon. |
Astuce : ouvrez l’œil dans ces zones
- Arrière des meubles peu déplacés
- Plinthes, encadrements de porte
- Angles entre mur et plafond
- Pièces sans ventilation (salle de bain sans VMC, cave fermée)
Le diagnostic mérule : indispensable en cas de doute
Si vous repérez plusieurs de ces signes, n’attendez pas. Faites appel à un professionnel certifié pour un diagnostic de mérule. Il est le seul habilité à :
- Identifier le champignon précisément (ce n’est pas toujours la mérule)
- Évaluer l’étendue de l’infestation
- Proposer un traitement fongicide ou thermique adapté
- Éviter une propagation aux autres logements, surtout en copropriété
Prix moyen constaté : entre 150€ et 400€, selon la surface à examiner et l’agence sollicitée.
Bon à savoir : Dans les zones à risque (arrêté préfectoral mérule), un état parasitaire doit être annexé à l’acte de vente. Pas juste pour rassurer l’acheteur : c’est une obligation légale.
A lire également : Bâtiment en béton : problèmes d’humidité et solutions complètes
Comment prévenir les champignons dans les bâtiments ?
La prévention est votre meilleur allié contre la mérule, surtout si vous êtes dans une région humide ou si votre logement est ancien, mal ventilé, ou concerné par des travaux récents (rénovation thermique, remplacement de menuiseries, isolation des murs…).
Voici les gestes qui font la différence :
Ventiler, ventiler… et encore ventiler
- Vérifiez la présence et le bon fonctionnement d’une VMC ou d’un système de ventilation naturelle.
- Aérez chaque jour, même en hiver.
- Laissez un espace entre les meubles et les murs froids, pour éviter la condensation.
Traquer l’humidité à la source
- Réparez immédiatement toute fuite de plomberie, même minime.
- Surveillez les taches d’humidité sur les murs ou plafonds.
- Installez un déshumidificateur dans les caves, sous-sols, ou pièces peu ventilées.
Entretenir son bâtiment avec soin
- Nettoyez régulièrement les gouttières, vérifiez les évacuations d’eau.
- Inspectez la toiture et les joints après chaque gros orage.
- Évitez les bois de récupération non traités dans les travaux ou le mobilier fixe.
À éviter absolument :
- Peintures imperméables sur les murs froids, elles bloquent l’évaporation.
- Entreposer du bois, des cartons ou des papiers dans des caves humides.
- Isoler sans ventiler : un mur bien isolé qui ne respire pas… c’est un piège à champignons.
Les pièces sensibles à surveiller de près :
- Caves
- Greniers
- Salles de bain
- Cuisines collectives
- Locaux techniques ou pièces mal chauffées
Astuce MURSEC : Faites une check-list annuelle de votre logement : ventilation, humidité, entretien des boiseries, état de la toiture, etc. Une journée de vérification peut vous éviter des milliers d’euros de dégâts.
Réglementation concernant les champignons dans les bâtiments
Oui, la mérule a aussi un cadre légal. Et non, on ne peut pas simplement peindre par-dessus et faire comme si de rien n’était.
Déclaration obligatoire en mairie
Depuis la loi ALUR (2014), la déclaration de la présence de mérule est obligatoire dès qu’elle est détectée dans un logement (que vous soyez propriétaire ou locataire).
Pourquoi ? Parce que ce champignon est invasif, pathogène, et peut toucher tout un quartier si on le laisse faire.
✍️ Si vous découvrez une mérule chez vous, vous avez l’obligation de signaler cette présence avérée à la mairie de votre commune. Le signalement est ensuite pris en compte par les autorités compétentes.
Vente d’un bien immobilier : attention aux zones à risque
Certaines communes ou départements sont classés comme zones à risque mérule, via un arrêté préfectoral mérule.
🗂️ Dans ces cas-là, si vous vendez un bien situé dans cette zone :
- Vous devez informer l’acheteur via un état parasitaire annexé à la promesse de vente et à l’acte authentique.
- En cas de non-information, la vente peut être contestée, voire annulée.
Bon à savoir : même sans arrêté préfectoral, la responsabilité du vendeur peut être engagée s’il a connaissance d’un risque et qu’il le cache.
Où la mérule est-elle la plus présente en France ?
Selon les données croisées de l’ANAH, de Qualitel et de Dimo Diagnostic, les zones les plus infestées sont :
- Le Grand Ouest (Bretagne, Pays de la Loire, Normandie)
- Le Nord de la France
- La région parisienne (notamment Paris, Val-de-Marne, Hauts-de-Seine)
- Certaines zones du Grand Est et de la Nouvelle-Aquitaine
👉L e Finistère est le département le plus touché. Mais la mérule se pr
Les solutions MURSEC pour éliminer les champignons dans un immeuble
Vous avez tout essayé.
Le bicarbonate de soude, le vinaigre blanc, le savon noir, les fameux mélanges “maison” qui sentent fort et promettent monts et merveilles.
Vous avez frotté, rincé, laissé agir. Deux fois. Trois fois.
Et pourtant… la tache réapparaît. Toujours au même endroit. Toujours avec cette odeur de cave, qui colle aux murs et qui vous inquiète un peu plus chaque semaine.
Et si le vrai problème, ce n’était pas ce que vous voyez… mais ce qui se cache derrière ?
Chez MURSEC, on ne fait pas dans le pansement sur la jambe de bois.
On ne se contente pas de masquer les symptômes.
On va chercher la source, on la mesure, on la comprend, puis on agit. Vraiment.
Voici les 2 solutions que nous déployons pour stopper la prolifération des champignons dans les immeubles – durablement 👇
1️⃣ Installer une Ventilation Positive Hygroréglable (VPH)
Imaginez un système qui respire à votre place.
Il aspire de l’air sec depuis l’extérieur, le filtre, et le diffuse lentement dans toutes les pièces : salles de bain, caves, cuisines collectives, cages d’escalier…
Pendant ce temps, l’air humide est poussé vers l’extérieur, naturellement.
✅ Avantage | ✅ Bénéfice pour l’immeuble |
Apporte de l’air neuf | Évite l’accumulation d’humidité dans les parois |
Régule l’humidité ambiante | Limite condensation, infiltration et moisissures |
Empêche la fixation des spores | Réduit le risque de prolifération fongique |
✔️ Adaptée pour :
- Les bâtiments anciens sans système de ventilation centralisé
- Les espaces collectifs humides : buanderies, caves, sous-sols
- Les zones exposées au nord ou mal ensoleillées
💡 Astuce entretien
Un nettoyage des filtres tous les 3 mois suffit. Pensez-y comme à une garde-robe de saison : ça se nettoie, ça s’entretient… et ça prolonge la durée de vie de votre immeuble.
📌 Vous voulez savoir si la VPH est compatible avec votre immeuble ?
2️⃣ Opter pour une Ventilation Mécanique Contrôlée (VMC)
La VMC, c’est un classique. Mais un classique qui fonctionne, surtout quand les problèmes d’humidité sont déjà bien installés.
Elle extrait l’air humide vers l’extérieur en continu, et fait entrer de l’air plus sec. Résultat : moins de condensation, moins de moisissures, moins de mérule.
🌪 Deux versions disponibles :
- Simple flux : aspire et rejette l’air humide.
- Double flux : fait la même chose, mais récupère la chaleur de l’air sortant – parfait pour faire des économies d’énergie.
✔️ Idéale pour :
- Les logements rénovés ou neufs bien isolés
- Les familles attentives à la qualité de l’air intérieur
- Les immeubles situés dans des régions pluvieuses ou à fort taux d’humidité
💡 Astuce entretien
Pensez à dépoussiérer les bouches d’aération tous les 3 mois.
Un chiffon microfibre, un coup d’aspirateur, et c’est reparti pour un air intérieur propre et fluide.
Et bien sûr, si la mérule est déjà là, on propose un traitement du bois sur-mesure :
- Diagnostic complet
- Assainissement général
- Traitement fongicide adapté à l’essence du bois
- Recommandations post-traitement pour éviter toute récidive
Pourquoi choisir MURSEC ?
Évitez de débourser pour des travaux inutiles
Profitez d’un avis professionnel et impartial
Assurez la pérennité de votre bien
Garantie 10 ans
4 3336 interventions
Une réponse immédiate et un interlocuteur dédié
Nos témoignages clients
Frédéric L.
PLAILLY (60)
« Un grand bravo sur le travail effectué. Il y avait de nombreuses infiltrations très importantes dans le sous-sol. Mursec a su identifier la solution à apporter.
Suite aux fortes pluies de cette hiver 2020-2021, nous avons pu vérifier la qualité du travail effectué par l’équipe Mursec. Plus de trace d’eau.
Je recommande vivement cette entreprise »
Franck B.
HOUILLES (78)
« Nous sommes très satisfaits des travaux effectués par la société MURSEC pour régler des problèmes d’infiltration dans un sous-sol aménagé. De très bon conseils, des travaux soignés, des délais respectés et une parfaite remise en état à l’issue des travaux. La grande disponibilité et la gentillesse de l’ensemble des intervenants (commercial, chef d’équipe, ouvriers) est vraiment à souligner. »
Simon G.
PARIS (75)
« J’ai fait appel à Mursec pour un problème de moisissures sur un mur, l’expert a indiqué qu’il fallait mieux isoler le mur mais que l’entreprise ne fait pas ce genre d’intervention… Avis honnête donc puisqu’ils n’ont pas préconisé de travaux inutiles ! »
Vincent B.
VÉMARS (95)
« Du directeur à l’équipe technique, 10/10. Nous sommes très heureux des travaux réalisés. Le chef de chantier et l’équipe d’intervention ont été disponibles et réactifs, travaillent uniquement avec du matériel professionnel. Sur 3 devis demandés, ce sont les moins chers. Je recommande à 100%. Bonne continuation à toute l’équipe Mursec »